Archives par categorie: Projets urbains
Pont-à-Mousson : une centralité discrète
Meurthe et Moselle - Projets urbains - Habitat
Petite ville au passé foisonnant, Pont-à-Mousson bénéficie d’un positionnement stratégique au cœur de la Lorraine. Un marché immobilier souvent ancien, mais abordable et parfois prestigieux, ajoute à son charme discret.
Pierre angulaire de la Lorraine depuis le XIIème siècle, quand les ducs de Bar s’y ancrèrent pour profiter des commodités du pont enjambant la Moselle, Pont-à-Mousson conserve aujourd’hui un positionnement stratégique.
Metz Métropole axe son NPRU sur la restructuration des écoles
Metz - Projets urbains - Habitat
Nicolas Grivel, directeur général de l’Anru, a signé, le 9 janvier, la convention de renouvellement urbain de quatre des six quartiers prioritaires de Metz Métropole. Quartier d’intérêt national de 11 000 habitants, Borny, profondément transformé par 15 ans de renouvellement urbain, bénéficiera d’un engagement de 37,7 M€ de l’Anru (83 M€ d’engagements au total avec les autres acteurs).
Les autres quartiers, d’intérêt régional, recevront 25 M€ de l’Anru : Bellecroix et La Patrotte, à Metz, pour respectivement 11,6 M€ et 10,6 M€, et Saint-Eloy – Boileau-Pré Génie, à Metz et Woippy, pour 2,9 M€.
Varangéville en conflit avec l’Etat autour de sa mine de sel
Meurthe et Moselle - Projets urbains - Agroalimentaire - Après-mines
La dernière mine de France poursuit l'exploitation d'un immense gisement de sel gemme. Mais les 300 kilomètres de galeries menacent les constructions neuves, selon une étude de la préfecture que la mairie conteste, soucieuse de développer son urbanisme.
A Varangéville, près de Nancy, la Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l'Est (CSMSE) compte bien exploiter la dernière mine souterraine de France au moins jusqu'en 2034.
A Metz, le quartier de l’Amphithéâtre entre dans sa seconde phase
Metz - Projets urbains - Habitat - Travaux publics | Infrastructures
En moins de quinze ans, Metz Métropole a converti 38 hectares de friches ferroviaires en un quartier dense et vivant à l'arrière de la gare. Aménageur de la Zac de l'Amphithéâtre, la Saremm lance l’appel d’offres de la maîtrise d’œuvre urbaine de la deuxième phase de l'opération, qui doit faire émerger en quatre ans les 84.000 mètres carrés restants sur un programme total de 296.192 mètres carrés. Le lauréat s’inscrira dans la continuité de l’agence Nicolas Michelin et associés (Anma), retenue en 2005, qui a assuré durant 10 ans le suivi urbanistique et architectural de la Zac de l’Amphithéâtre, et de Citadia.
Le quartier se dotera d’une dizaine de nouveaux immeubles, dont la plupart sont déjà entrés en chantier.
Lunéville inscrit son patrimoine dans une vision d’avenir
Meurthe et Moselle - Projets urbains - Habitat
Pilote du dispositif national Cœur de Ville, Lunéville expérimente une revitalisation ambitieuse et globale. Nouvelles circulations, rénovation de l’habitat et animations en soirée doivent réveiller la belle endormie où le roi Stanislas entretint jadis une cours fastueuse.
En novembre prochain, deux inaugurations inviteront les Lunévillois à de grandes promenades de part et d’autre de la ville : de la gare, qui arbore un parvis rénové, partent désormais deux circuits plus fluides.
Nancy Braun, directrice générale d’Esch2022, capitale européenne de la Culture« Maintenant, il faut avancer »
Transfrontalier - Lorraine - Luxembourg - Projets urbains - Reconversion des friches - Tourisme | Culture
Grande connaisseuse de la scène culturelle luxembourgeoise, Nancy Braun dirige depuis novembre 2018 le projet « Esch2022, capitale européenne de la Culture ». Ancienne coordinatrice générale adjointe de « Luxembourg et Grande Région, capitale européenne de la culture 2007», directrice administrative et financière du Barreau de Luxembourg, puis coordinatrice générale du Demokratesch Partei – DP, elle met ses compétences au service d’un projet phare : Esch2022 doit mettre en lumière la métamorphose d’Esch-sur-Alzette, mais aussi faire rayonner les perspectives d’avenir d’un territoire englobant le sud du Grand-Duché et la bande frontalière du nord lorrain.
A quoi le label « Capital européenne de la culture » peut-il servir ?
Il doit d’abord servir à changer l’image d’Esch-sur-Alzette et à repositionner la région du sud Luxembourg sur le plan national et international. Ce territoire est à l’origine d’une grande partie de la richesse du Luxembourg. Il a connu des hauts et des bas et se trouve aujourd’hui en pleine transformation. L’outil culturel peut contribuer à cette évolution. Belval, son université, ses institutions, constituent un exemple de reconversion formidable et trop peu connu. Le futur du Luxembourg s’y joue.