Archives par categorie: Transfrontalier
Hydrogène : vers un réseau entre la Moselle, la Sarre et le Luxembourg
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GRT Gaz et l'allemand Creos officialisent un projet de réseau transfrontalier qui desservira sur 70 kilomètres les points névralgiques des industries mosellanes et sarroises, ainsi que le Grand-Duché.
Lorsqu'en janvier dernier, Emmanuelle Wargon, alors secrétaire d'Etat à la Transition écologique, s'était rendue dans l'Est mosellan pour présenter le projet de territoire du Warndt , l'hypothèse d'un « projet hydrogène » était sur toutes les lèvres.
Automobile : le lorrain Car Avenue conforte son ancrage frontalier
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Le groupe acquiert quatre concessions Mercedes-Benz en Wallonie. Toutes marques confondues, il écoule 12.000 véhicules par an en Belgique et au Luxembourg. Car Avenue est passé en moins de quinze ans de 12 à plus de 100 concessions.
Car Avenue a obtenu courant juin le feu vert de l'autorité belge de la concurrence pour finaliser le rachat de 4 concessions Mercedes-Benz à Namur, Arlon, Libramont et Marche-en-Famenne.
Après la crise sanitaire, la coopération sarro-mosellane se remet sur les rails
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Ministre-président de la Sarre, Tobias Hans a dédié son premier déplacement hors frontières à Patrick Weiten, président du conseil départemental de la Moselle. Empreinte d’amitié et d’émotion, la visite a permis aux deux hommes de tirer les enseignements d’une crise sanitaire qui a entravé l’unité sarro-mosellane et de retravailler le tracé d’une coopération renforcée.
A l’issue de la matinée de travail organisée à Metz le 26 juin 2020, Patrick Weiten, président du conseil départemental de la Moselle et Tobias Hans, ministre président de Sarre, ont tenu des propos d’une tonalité inhabituelle lors d’une conférence de presse.
« Tu as sauvé la vie de Mosellans. » Patrick Weiten.
Marion Lacombe, responsable du projet MosaHYc« L’hydrogène trouve un terrain d’expérimentation fertile dans la Grande Région »
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Le transporteur de gaz GRTgaz porte un projet de réseau transfrontalier pour l’hydrogène. Marion Lacombe, analyste stratégie et responsable du projet pour l’opérateur français, en détaille les enjeux.
Que recouvre MosaHYc ?
Contraction de Moselle Sarre Hydrogène Conversion, ce nom désigne la création d’un réseau transfrontalier d’alimentation en hydrogène entre la Sarre, la Moselle et la frontière luxembourgeoise. Ce projet vise à transporter de l’hydrogène dans des réseaux de gaz existants, par la conversion de ceux-ci, sur une distance de 70 kilomètres reliant Carling et Bouzonville côté français, à Perl et Völklingen côté allemand. La capacité de transport est évaluée à 20 000 mètres par heure.
Jean-Louis Jérôme, directeur général du Port autonome de Strasbourg« Le port de Lauterbourg est parfaitement binational »
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Directeur général du Port autonome de Strasbourg, Jean-Louis Jérôme présente le groupement d’opérateurs transfrontalier retenu pour assurer l’exploitation du nouveau terminal du site de Lauterbourg (Bas-Rhin). Les quatre partenaires ont constitué la société Lauterbourg Rhine Termina, qui démarrera ses activités en septembre prochain.
Pour l’exploitation du nouveau terminal sur son site de Lauterbourg, le Port autonome de Strasbourg a souhaité une réponse franco-allemande. Pourquoi ?
Du point de vue du transport rhénan, Lauterbourg est parfaitement binational. Sa localisation rend évidente une approche transfrontalière. Ce port ouvre un accès facile à l’Allemagne : en venant de son embouchure, c’est la dernière étape avant la chaîne d’écluses sur le fleuve. La desserte de l’Allemagne s’y effectue sans contraintes d’interopérabilité. Le nouveau terminal vise un marché autant français qu’allemand.
Jean-Claude Bernardini, président du Conseil syndical interrégional de la Grande Région« Avant d’être frontaliers, les navetteurs sont des salariés »
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Président du Conseil syndical interrégional de la Grande Région (*) qui regroupe huit organisations syndicales allemandes, belges, françaises et luxembourgeoises, Jean-Claude Bernardini a été secrétaire syndical à la FGTB (Belgique) de 1991 à 2002, avant de rejoindre le syndicat luxembourgeois OGBL, dont il est secrétaire central.
Responsable pour l’OGBL des questions touchant aux frontaliers, il analyse l’impact du Covid-19 dans le monde du travail de la Grande Région.
Quel a été l’impact du Covid-19 sur le monde du travail dans l’espace frontalier entre la Belgique, le Luxembourg, la France et l’Allemagne que vous représentez auprès de la Confédération européenne des syndicats ?
La crise sanitaire a permis de débloquer en un mois un problème qui semblait insoluble depuis des années : le Luxembourg a conclu des accords sur le télétravail et la fiscalité avec la France, la Belgique et l’Allemagne. C’est bien la preuve que quand on veut, on peut ! Mais il s’agit de trois accords différents et non d’un seul.