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Archives par categorie: Sarre


Cirkla veut valoriser le sable et les matériaux nobles

France - Région Grand-Est - Rhénanie - Palatinat - Sarre - Transfrontalier - Wallonie - Bade - Wurtemberg - Construction - Écoconstruction - Environnement - Grandes écoles - Laboratoires de recherche

Sous l'égide de l'université de Liège, les chercheurs de quatre universités frontalières, dont celle de Lorraine, mutualisent leurs connaissances pour préserver les déchets géosourcés issus du bâtiment. Le nouveau centre de recherches Cirkla espère décrocher des contrats d'un montant de 5 à 10 millions en cinq ans.

Au coeur de l'ex-Communauté européenne de l'acier et du charbon (Ceca), les chercheurs de l'Uni-GR, qui regroupe sept universités réparties entre la Lorraine, la Sarre, la Rhénanie-Palatinat, le Luxembourg et la Wallonie, lancent un programme commun dédié à la préservation des déchets géosourcés issus du bâtiment.

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Sarre-Moselle : Le travail transfrontalier à l’épreuve du covid

Transfrontalier - Moselle - Sarre - Management - Santé - Ressources humaines

A la frontière sarro-mosellane, 14.000 travailleurs frontaliers ont vécu mi-mai une forme de déconfinement particulier : l’Etat fédéral a levé l’obligation, en vigueur depuis le 1er mars, de présenter un test naso-pharyngé négatif de moins de 72 heures pour franchir la frontière.

Un an après le premier confinement qui, en 2020, c’était traduit par des mesures discriminatoires à leur encontre, ce nouvel épisode laissera des séquelles dans l’espace frontalier.

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Covid : la France impose des tests PCR aux frontaliers en Moselle

Transfrontalier - Moselle - Sarre

Les voyageurs passant de la Moselle à la Sarre pour raisons non professionnelles devront présenter un test PCR de moins de 72 heures, et de moins d'une semaine pour les travailleurs frontaliers. Les mesures sanitaires referment les frontières dans un espace qui pensait les avoir abolies.

Étonnant contre-pied que l'annonce, par Olivier Véran et Clément Beaune, de l'obligation pour les ressortissants français se déplaçant en Allemagne pour des motifs non professionnels de présenter un test PCR négatif de moins de 72 heures, et de moins d'une semaine pour les travailleurs frontaliers.

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Gilbert Schuh, président de l’eurodistrict SaarMoselle

« Nous devons être plus ambitieux »

Transfrontalier - Moselle - Sarre - Projets urbains - Travaux publics | Infrastructures

Maire de Morsbach depuis 1995, délégué à la coopération transfrontalière au conseil départemental de la Moselle et vice-président de la communauté d’agglomération Forbach Portes de France, Gilbert Schuh est revenu fin novembre 2020 à la présidence de l’eurodistrict SaarMoselle, qu’il a déjà occupée de 2012 à 2014. Entré en politique par conviction européenne, l’élu centriste est l’une des chevilles ouvrières de cette institution transfrontalière fondée voici dix ans.

Quel sera le projet phare de votre nouveau mandat ?

Il s’agira du projet Geko (gesundheitkoopération), piloté par l’Eurodistrict pour renforcer les coopérations sanitaires entre la Sarre et la Moselle. Cofinancé par l’Agence régionale de santé du Grand est et par le ministère sarrois de la Santé, ce projet Interreg doté d’un budget d’un million d’euros doit contribuer à digitaliser les données des hôpitaux et des caisses d’assurance maladie, faciliter la gestion de crise et renforcer le réseau transfrontalier de soins. Il prolonge la convention sanitaire Mosar, qui a notamment permis la prise en charge des patients mosellans atteints de maladies cardiovasculaires à la clinique spécialisée de Volklingen. Les échanges impliqueront désormais le service de médecine nucléaire de l’hôpital de Sarreguemines et le centre de réhabilitation fonctionnelle de Freyming-Merlebach. Il pourrait aussi d’étendre aux pompiers et aux services de secours.

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Andrea Brück, directrice d’abc context media consulting

« En période d’insécurité, il faut communiquer davantage »

Transfrontalier - Bade - Wurtemberg - Lorraine - Luxembourg - Région Grand-Est - Rhénanie - Palatinat - Sarre - Interviews - Services - Tourisme | Culture

Basée dans le Bade-Wurtemberg et répartie entre les bureaux Bade-Alsace et Sarre-Lor-Lux, abc context constitue l’une des rares agences de communication spécifiquement transfrontalière. Au cours d’une année 2020 hors-normes, sa directrice Andrea Bruck a observé les répercussions de la crise sanitaire sur les professionnels de la culture, du tourisme et de l’événementiel, qui constituent l’essentiel de la clientèle de l’agence.

Pourquoi abc context a-t-elle lancé courant novembre 2020 son propre blog ?

Au départ est née l’idée de créer un blog dédié à notre spécialité, la communication transfrontalière en général. Nous souhaitions expliquer ce que signifie la communication transfrontalière, quels sont les thèmes abordés et les tâches qui nous sont confiées au fil de notre travail quotidien avec des clients issus de l’espace frontalier. A quoi doit-on faire attention par exemple lors de la sélection des sujets, de la rédaction et de la création de fichiers des destinataires. En cette année particulière qu’est 2020, certains sujets politiques et sociaux, qui nous ont aussi affecté, seront intégrés dans le blog.

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François Grosdidier, maire de Metz, président de Metz Métropole

« Je souhaite que d’avantage de Messins travaillent au Luxembourg »

Luxembourg - Sarre - Metz - Université

Ancien fonctionnaire territorial, François Grosdidier a obtenu son premier mandat local 1989 en devenant conseiller municipal de Metz à l’âge de 28 ans.

Successivement vice-président du conseil régional de Lorraine (de 1992 à 2004), député de la Moselle (de 1993 à 1997, puis de 2002 à 2011), maire de Woippy (de 2001 à 2017), conseiller général (en 2011), puis élu sénateur de la Moselle en 2011, il est depuis cet été maire de Metz et président de Metz Métropole.

Le nouvel édile livre à Correspondances son approche de la coopération transfrontalière.

Vous situez-vous dans la continuité de votre prédécesseur Dominique Gros dans vos relations avec le Luxembourg ?

Je me situe en rupture, car je ne considère pas que le Luxembourg nous porte un préjudice qui demanderait réparation. Je ne suis pas dans ce type de rapports, alors même que le Luxembourg assure des revenus à 100.000 Mosellans dont 5.000 Messins et 7.000 métropolitains. Sans ces emplois, nous serions moins prospères ou en plus grande difficulté.

Je souhaite que d’avantage de Messins travaillent au Luxembourg. Nous conservons un taux de chômage de 10 %, alors que nous disposons de deux marchés de l’emploi. Nous devrions donc avoir l’un des taux de chômage les plus bas du pays. Ma préoccupation est que les travailleurs frontaliers puissent continuer à travailler au Luxembourg tout en vivant à Metz et dans la métropole, ce qui suppose des modes de transport et de locomotion plus fluides.

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