Archives par categorie: Énergie
La Caisse des Dépôts, soutien fidèle des projets lorrains
Metz - Energie - Urbanisme | Aménagement
Nommé en mai dernier directeur général de la Caisse des dépôts, Pierre-René Lemas a réservé son premier déplacement en province à la Lorraine, dont il a été préfet entre 2006 et 2007.
L’ancien secrétaire général de l’Elysée a conclu avec la ville de Metz un partenariat d’une durée de trois ans qui se déclinera en multiples conventions assorties de conditions de financement préférentielles. Parmi les projets concernés figurent les investissements prévus par l’Usine d’électricité de Metz pour renforcer la production d’énergies renouvelables, les efforts en matière d’isolation des bâtiments publics et la requalification de certains secteurs de la ville.
UEM acquiert trois parcs éoliens
Filiale de l’énergéticien public messin UEM, Energreen Production a acquis trois parcs éoliens situés entre Faulquemont et Morhange pour y implanter 18 éoliennes d’une puissance de 36 MW. Ces installations, qui produiront 80 millions de KWh par an, s’ajoutent au parc éolien en cours de construction en Meurthe-et-Moselle et portent la capacité de production d’Energreen à 75 MW.
Mâts éoliens en vue dans l’Audunois
Les deux projets de parcs éoliens portés depuis trois ans par la communauté de communes du pays audunois entrent en phase de concrétisation.
Un permis de construire concernant sept mâts a été déposé sur la zone industrielle de Bréhain-la-Ville. A Beuvillers-Sancy, la société d’économie mixte Sodeger demande l’autorisation d’implanter cinq éoliennes. Les machines pourraient sortir de terre en fin d’année.
A Cattenom, un temps de travail calqué sur les arrêts de tranche
La centrale nucléaire de Cattenom (Moselle) illustre parfaitement la notion de « mosaïque complexe d’accords locaux » pointée par la Cour des Comptes. La durée et l’organisation du travail de la centrale de 1 332 agents sont consignées depuis quinze ans dans un accord de site conclu dans la foulée des lois Aubry.
Constitué de 31 % de cadres, de 66 % d’agents de maîtrise et de 3 % de personnel d’exécution, l’effectif dispose d’un système souple et consensuel pour répartir le temps de travail en fonction des impératifs d’une centrale nucléaire, rythmée par les arrêts de tranches.