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La « remise à plat » de l’écotaxe alarme Metz Métropole
En annonçant une « remise à plat » de l’Ecotaxe, Ségolène Royal, la nouvelle ministre de l'Ecologie, a suscité la colère du président (UDI) de Metz Métropole (Moselle), où l’implantation d’Ecoumouv’, gestionnaire de cette taxe, devait créer 350 emplois. Les 156 salariés déjà embauchés en CDI sont dans l’expectative.
Président de Metz Métropole et maire (UDI) de Montigny-lès-Metz (Moselle), Jean-Luc Bohl ne décolère pas depuis l’annonce par Ségolène Royale d’une « remise à plat » de l’Ecotaxe.Metz – la Halle remplace Virgin
Vacant depuis le départ de Virgin Megastore en 2012, le bâtiment de 1 500 m2 qui forme la jonction entre la place de la République et la rue Serpenoise, à l’entrée du plateau commercial piéton de Metz, a trouvé preneur. Le groupe Vivarte investit 1 million d’euros dans la rénovation des locaux, qui abriteront le dernier concept des magasins de vêtements La Halle.
Grand-Fare devient Best
Connu depuis douze ans sous le nom de Grand Fare, le projet de centre commercial porté par Codic à Farébersviller verra le jour sous le nom de Best. Le site de 29 000 m2 accueillera un hypermarché Carrefour de 8 000 m2 et cinquante enseignes dont le recrutement est en cours. Le chantier de 150 millions d’euros devrait commencer fin 2015 pour une ouverture en 2017.
Drone-rc.com lance l’assurance tous risques pour les drones
Spécialisée dans l’accompagnement des utilisateurs de drones, l’entreprise nancéienne Drone-rc.com propose, depuis février, la première assurance couvrant à la fois les engins et les appareils embarqués. L’offre s’adresse aux industriels, professionnels de l’image, constructeurs ou instituts de recherche de plus en plus nombreux à utiliser des drones.
Sarre-Moselle – Plaidoyer pour une écluse
Lien bucolique entre le Land de Sarre et le département de la Moselle, l’écluse de Gudingen risque la fermeture : l’Etat fédéral allemand se propose de la transformer en simple digue pour éviter des travaux de réhabilitation d’un montant de 2 millions d’euros HT.
Classé monument historique, l’ouvrage permet le passage de quelque 1 700 bateaux dans les deux sens chaque année. La perspective indigne les plaisanciers et inquiète les acteurs mosellans du tourisme, qui verraient le port de plaisance de Sarreguemines se transformer en cul-de-sac.