Archives par categorie: Ressources humaines
Moovijob orchestre le site et les salons de l’emploi frontalier
Correspondances transfrontalières - Alsace - Bade - Wurtemberg - Lorraine - Luxembourg - Rhénanie - Palatinat - Sarre - Wallonie - Ressources humaines - Université
Rayonnant sur le quart nord-est de la France, le Luxembourg, la Belgique et les Länder allemands frontaliers du Grand Est, Moovijob couple depuis 2007 plate-forme d’offres d’emploi et événements dédiés au recrutement. Résolument généraliste, le site reflète à sa manière les fluctuations du marché de l’emploi dans la zone frontalière.
Site de référence des chercheurs d’emploi de la Grande Région, Moobijob conserve depuis sa création les spécificités que lui a conférées son fondateur Gille Risser, décédé en mai 2015 à l’âge de 42 ans. L’ex-directeur commercial du Républicain Lorrain, puis de la publicité de Medias & Régies Europe Publicis, a bâti sa start-up sur la complémentarité entre site internet et organisation d’événements dans un périmètre transfrontalier incluant la France, la Belgique, le Luxembourg et l’Allemagne – le cœur de cible se situant aux frontières luxembourgeoises.
Hilke van den Elsen, coordinatrice de l’observatoire interrégional de l’emploi (OIE)« Nos chiffres gagneraient à être mieux connus »
Correspondances transfrontalières - Alsace Champagne Ardennes Lorraine (Grand Est) - Bade - Wurtemberg - Luxembourg - Rhénanie - Palatinat - Sarre - Wallonie - Ressources humaines
Seul observatoire transfrontalier du marché du travail d’Europe, l’Observatoire interrégional de l’emploi (OIE) analyse depuis 2001 l’évolution du marché de l’emploi et les flux frontaliers en Lorraine, en Wallonie, au Luxembourg et en Rhénanie-Palatinat. Sa coordinatrice Hilke van den Elsen revient sur les données les plus récentes, mais aussi sur les grandes tendances du travail frontalier au cours des dernières années.
Quels enseignements tirez-vous du rapport « chiffre des frontaliers 2014/2015 » présenté en juin 2016 ?
Pour la première fois depuis plusieurs années, le nombre de Français partant travailler en Sarre et en Rhénanie-Palatinat progresse. L’augmentation de 1,1 % en 2015, qui représente 188 personnes, s’explique essentiellement par l’augmentation de l’intérim.
Eurès Lorraine, compagnon de route des travailleurs transfrontaliers
Correspondances transfrontalières - Grand Est - Luxembourg - Rhénanie - Palatinat - Sarre - Wallonie - Ressources humaines
En 2015, 53 000 demandeurs d’emploi du Grand Est ont exprimé leur souhait de travailler dans un pays limitrophe. Le réseau européen Eurès peaufine ses offres pour accompagner les candidats à l’expatriation professionnelle.
Confronté à un taux de chômage de 10,4 %, légèrement supérieur à la moyenne nationale (10,2 %) selon les statistiques publiées début 2016 par la Direccte et la direction régionale de Pôle emploi, le Grand Est trouve dans le travail frontalier une planche de salut.
SaarMoselle, outil de coopération et force de proposition
Correspondances transfrontalières - Moselle - Sarre - Ressources humaines - Tourisme - Travaux publics | Infrastructures
L’eurodistrict Saarmoselle s’est inscrit dans six projets européens depuis l’ouverture du guichet de candidatures des fonds Interreg VA en début d’année. Les thématiques choisies témoignent d’une volonté d’engagement dans la durée.
Outil de coopération apprécié, l’Eurodistrict SaarMoselle a confirmé son engagement transfrontalier en s’inscrivant dans six projets Interreg V depuis l’ouverture de ce nouveau programme européen en début d’année.
Les fonds Interreg V-A aiguisent les appétits
Transfrontalier - Lorraine - Luxembourg - Rhénanie - Palatinat - Sarre - Wallonie - Environnement - Ressources humaines - Travaux publics | Infrastructures
Signe d’une grande aspiration à la coopération transfrontalière ou, plus prosaïquement, d’une disette financière généralisée ? Le premier appel d’offres du programme Interreg V-A a suscité un fort engouement dans la Grande Région qui regroupe la Sarre, la Lorraine, le Luxembourg, la Rhénanie-Palatinat et la Wallonie.
Le Secrétariat conjoint chargé de la gestion de ces fonds, qui représentent un montant de 140 millions d’euros pour la période 2014/2020, a reçu 84 candidatures sollicitant 165 millions d’euros de subventions.
Trop nombreux, les candidats à Interreg V-A risquent de rester sur leur faim
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En période de disette financière généralisée, les fonds européens aiguisent les appétits : sitôt ouvert le guichet des candidatures aux fonds Interreg V-A, le Secrétariat conjoint chargé de leur gestion a reçu 84 candidatures sollicitant 165 millions d’euros, soit 20 % de plus que l’enveloppe globale disponible d’ici à 2020.
L’époque où les fonds européens peinaient à trouver preneur est bel et bien révolue : le premier appel d’offres au nouveau programme Interreg V-A a suscité un engouement immédiat avec 84 candidatures représentant une demande de 165 millions d’euros dès l’ouverture des premiers plis, alors même que l’Union européenne ne programme que 140 millions d’euros de fonds Feder Grande Région pour la période 2014/2020.