Archives par categorie: Industrie
Smart France revient aux 39 heures
Moselle - Automobile & Équipementiers - Ressources humaines
Au terme de six mois d’une tension croissante, la direction de Smart France a obtenu un véritable plébiscite pour le retour aux 39 heures payées 37.
Tandis que 56 % des 800 salariés de Hambach, dont 39 % seulement des ouvriers, avaient accepté cette proposition lors du référendum organisé en septembre dernier, plus de 95 % des salariés du site mosellan ont renvoyé un avenant individuel à leur contrat de travail validant le Pacte 2020 du constructeur.
Pour Edouard Martin, député (PS) européen : « 2016, une année cruciale pour la sidérurgie européenne»
Grand Est - Sidérurgie - Social
Selon votre rapport, le dumping lié à la surproduction chinoise fait courir un péril imminent à la sidérurgie européenne. Ne s’agit-il pas là d’un aléa classique pour une activité cyclique par nature ? La sidérurgie connaît bien sûr des creux de cycle, mais actuellement, la consommation d’acier en Europe est plutôt stable, voire même en croissance. La crise du bâtiment entraîne une surcapacité pour les produits longs, mais ce n’est pas le cas des aciers plats que l’Europe est obligée d’importer.
Ecotransfaire élargit le champ de l’économie circulaire
Correspondances transfrontalières - Luxembourg - Wallonie - Meurthe et Moselle - Agroalimentaire - Bâtiment - Écoconstruction - Formation
Initialement dédié à la promotion de l’écoconstruction dans l’espace Luxembourg-Wallonie-Meurthe-et-Moselle, le GIE Ecotransfaire élargit ses cibles aux filières courtes dans l’agro-alimentaire et à un projet européen de réhabilitation de logements ouvriers.
Fondé à Mexy (Meurthe-et-Moselle) en 2013, le groupement d’intérêt économique transfrontalier Ecotransfaire présentera en début d’année les premières étapes de deux projets Interreg V.
Craignant pour leur site, les salariés de Smart France plébiscitent le retour aux 39 heures
Moselle - Automobile & Équipementiers - Social - Ressources humaines
Deux jours avant la date butoir, 90 % des 800 salariés de Smart France à Hambach (Moselle) ont renvoyé à la direction un avenant au contrat de travail acceptant le retour temporaire et progressif aux 39 heures payées 37. La direction se félicite de ce plébiscite, mais les syndicats dénoncent un chantage à l’emploi et ne semblent gère rassurés quant à la pérennité du site mosellan.
La stratégie de la tension a payé sur le site Smart France de Hambach (Moselle), où les salariés étaient fortement invités à retourner à leur direction, avant le 18 décembre, un avenant individuel à leur contrat de travail acceptant de revenir progressivement à 39 heures de travail hebdomadaire payées 37.
Le dirigeant d’Inesa dévoile la maquette de son usine de Led et découvre la Meuse
Meuse - Industrie - Investissements
Venu en France à l’occasion de la Cop 21, Qiang Wang, président du groupe Inesa, a dévoilé au Bourget la maquette d’usine de LED, puis s’est rendu à la gare TGV Meuse à l’emplacement de la future usine. En dépit d’un choc des cultures, le projet d’un montant de 100 millions d’euros pour 200 créations d’emplois doit se poursuivre et s’accélérer.
Présent sur 200 mètres carrés dans l’enceinte de la Cop 21, le groupe chinois Inesa, propriété de la ville de Shangaï, s’est fait une fierté de dévoiler le 2 décembre la maquette de l’usine d’éclairage à basse consommation que sa filiale Felo-Shenan doit implanter en Meuse.
Bergère de France poursuit son chemin et préserve l’emploi
Meuse - Social - Textile
Le tribunal de commerce de Bar-le-Duc a validé le plan de continuation de la filature meusienne Bergère de France. Le plan présenté par la direction préserve les 230 emplois subsistant après le plan social qui a supprimé 68 postes au printemps dernier.
Jean-Louis Petit, directeur général de Bergère de France et son fils Geoffroy, président du conseil d’administration, ont exprimé une franche satisfaction à l’issue de l’audience du tribunal de commerce de Bar-le-Duc (Meuse) qui a prononcé le 8 décembre la continuation de la filature meusienne. Le plan de sauvegarde prévoit le renforcement de l’enseigne sur le marché du loisir créatif et la préservation de la totalité des quelque 230 emplois restants.