Archives par categorie: Travaux publics | Infrastructures
Terville : une identité singulière
Moselle - Projets urbains - Habitat - Travaux publics | Infrastructures
Attenante de Thionville, Terville a reconstruit ses équipements culturels, scolaires, commerciaux et sportifs. A 30 kilomètres de Metz et à 17 kilomètres du Luxembourg, la commune de 7.150 habitants affiche aujourd’hui une identité singulière dans un contexte urbain et financier apaisé.
Ce printemps, l’achèvement du carrefour sécurisant les rues de Verdun, du Marché, du Cimetière et du Séliguet marquera le point de départ d’une fluidité nouvelle au long de l’axe central de Terville.
Un trio d’opérateurs pour les 11 ports lorrains
Lorraine - Metz - Nancy - Thionville - Logistique - Travaux publics | Infrastructures
Les 11 ports fluviaux de la Moselle se regroupent sous l'égide d'un gestionnaire commun rassemblant la CCI de Meurthe-et-Moselle, ArcelorMittal et CFNR Transport. Le consortium public-privé investira 30 millions d'euros pour rendre ses infrastructures plus attractives à l'échelle européenne.
En Lorraine, trois ans de concertation viennent d'aboutir à la désignation du trio d'opérateurs qui pilotera la navigation fluviale au long de la Moselle au cours des trente prochaines années.
Hydrogène : vers un réseau entre la Moselle, la Sarre et le Luxembourg
Transfrontalier - Lorraine - Luxembourg - Sarre - Énergie - Travaux publics | Infrastructures
GRT Gaz et l'allemand Creos officialisent un projet de réseau transfrontalier qui desservira sur 70 kilomètres les points névralgiques des industries mosellanes et sarroises, ainsi que le Grand-Duché.
Lorsqu'en janvier dernier, Emmanuelle Wargon, alors secrétaire d'Etat à la Transition écologique, s'était rendue dans l'Est mosellan pour présenter le projet de territoire du Warndt , l'hypothèse d'un « projet hydrogène » était sur toutes les lèvres.
Marion Lacombe, responsable du projet MosaHYc« L’hydrogène trouve un terrain d’expérimentation fertile dans la Grande Région »
Transfrontalier - Lorraine - Luxembourg - Rhénanie - Palatinat - Sarre - Énergie - Industrie - Travaux publics | Infrastructures
Le transporteur de gaz GRTgaz porte un projet de réseau transfrontalier pour l’hydrogène. Marion Lacombe, analyste stratégie et responsable du projet pour l’opérateur français, en détaille les enjeux.
Que recouvre MosaHYc ?
Contraction de Moselle Sarre Hydrogène Conversion, ce nom désigne la création d’un réseau transfrontalier d’alimentation en hydrogène entre la Sarre, la Moselle et la frontière luxembourgeoise. Ce projet vise à transporter de l’hydrogène dans des réseaux de gaz existants, par la conversion de ceux-ci, sur une distance de 70 kilomètres reliant Carling et Bouzonville côté français, à Perl et Völklingen côté allemand. La capacité de transport est évaluée à 20 000 mètres par heure.
Jean-Louis Jérôme, directeur général du Port autonome de Strasbourg« Le port de Lauterbourg est parfaitement binational »
Transfrontalier - Alsace - Bade - Wurtemberg - Travaux publics | Infrastructures
Directeur général du Port autonome de Strasbourg, Jean-Louis Jérôme présente le groupement d’opérateurs transfrontalier retenu pour assurer l’exploitation du nouveau terminal du site de Lauterbourg (Bas-Rhin). Les quatre partenaires ont constitué la société Lauterbourg Rhine Termina, qui démarrera ses activités en septembre prochain.
Pour l’exploitation du nouveau terminal sur son site de Lauterbourg, le Port autonome de Strasbourg a souhaité une réponse franco-allemande. Pourquoi ?
Du point de vue du transport rhénan, Lauterbourg est parfaitement binational. Sa localisation rend évidente une approche transfrontalière. Ce port ouvre un accès facile à l’Allemagne : en venant de son embouchure, c’est la dernière étape avant la chaîne d’écluses sur le fleuve. La desserte de l’Allemagne s’y effectue sans contraintes d’interopérabilité. Le nouveau terminal vise un marché autant français qu’allemand.
Lampadaires : la PME Chrysalis parie sur la Bourse pour rebondir
Meurthe et Moselle - Mécanique - Travaux publics | Infrastructures
Cette PME de 25 salariés, qui a repris les locaux et une partie de l'outil industriel de l'ex-3E International, veut se tourner vers la Bourse pour partir à la conquête des marchés de l'éclairage urbain. Elle compte se doter d'un réseau commercial pour diffuser sa technologie LED.
Chrysalis monte un dossier pour chercher en Bourse les moyens de remonter sur le podium. Ses locaux de 9.000 mètres à Custines (Meurthe-et-Moselle) sont encore disproportionnés pour ses 25 salariés qui, pour la plupart, y cintrent, soudent et assemblent mâts d'éclairage et lanternes, mais le concept Lolita mis au point par son bureau d'études lui ouvre des débouchés.