L’agence d’urbanisme a invité élus et techniciens à une série d’ateliers pour présenter les mutations de Metz Métropole, moins de 100 jours après la présentation de son projet métropolitain.
L’Aguram, qui n’avait plus organisé de portes ouvertes depuis son quarantième anniversaire fêté en 2014, a fait le plein de visiteurs à l’occasion du petit-déjeuner découverte organisé le 25 avril. Une soixantaine d’élus, de techniciens et de partenaires ont assisté à quatre débats et cinq exposés en formats courts présentés par une dizaine des 36 experts de l’Agence d’urbanisme d’agglomérations de Moselle.
Nous souhaitions rester dans la phase des 100 jours suivant la présentation du projet métropolitain pour montrer les métamorphoses du territoire et mettre nos partenaires en contact avec les agents qui sont à l’origine de la centaine d’études en cours.
Patricia Gout, directrice de l’Aguram
Respectivement consacrés à la mobilité transfrontalière, au piéton dans la ville, à l’habitat et à la préservation du patrimoine et du bâti à travers le PLU, les exposés-débats ont mis en exergue les atouts d’une métropole toute récente – l’intercommunalité de 230 000 habitants répartis sur 44 communes n’est passée qu’au 1er janvier 2018 du statut de communauté d’agglomération à celui de métropole – et toujours en quête de reconnaissance.
Metz Métropole bénéficie d’une proposition frontalière exceptionnelle, d’une main d’œuvre de bon niveau, d’équipements technologiques de pointe et d’un cadre de vie agréable. Mais elle ne sait pas encore suffisamment se vendre et peine à retenir ses jeunes ménages.
Béatrice Agamenonne, vice-présidente de Metz Métropole en charge du projet métropolitain
Metz Métropole, qui accueillera le G7 de l’environnement les 5 et 6 mai prochains, compte renouveler le concept d’écologie urbaine initié par le botaniste Jean-Marie Pelt dans les années 1970.
L’Aguram lance ainsi une étude foncière pour ancrer sur son territoire les maraîchers accueillis sur le plateau de Frescaty. Le projet “Cultivons la métropole” entend faire progresser une autonomie alimentaire qui culmine à 1% de la consommation du territoire.
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