Auteur Archives: Les Echos
A propos de Les Echos
Metz : le Moovijob Tour, vitrine de l’emploi régional et frontalier
Transfrontalier - Ressources humaines
Le groupe luxembourgeois gère simultanément un site d'offres d'emploi transfrontalier, des salons généralistes et des événements ciblés.
Quelque 2.000 candidats se sont pressés le vendredi 7 octobre, à la salle de concerts de l'Arsenal, à l'occasion du 8e Moovijob 2016 à Metz. Présenté par la société luxembourgeoise Moovijob, qui couple depuis 2007 un site dédié à l'emploi frontalier et l'organisation d'événements, le Salon a rodé sa formule.
Les Salons de l’emploi fleurissent en régions
France - Ressources humaines
Pôle emploi s’associe à 4.000 forums, journées portes ouvertes et autres « job dating ». La concurrence est forte entre les nombreux organisateurs de Salons.
A l'heure de l'économie numérique, la recherche d'emploi résiste - contre toute attente - aux sirènes du tout Internet. Les Salons de l'emploi, lieu de rencontre privilégié entre les employeurs et les candidats, essaiment partout en France.
ArcelorMittal Florange : un site redynamisé mais avec des effectifs réduits
Moselle - Investissements - Sidérurgie - Social
Florange bénéficie de 200 millions d’investissements sur cinq ans. Mais les effectifs sont tombés de 3.000 à 2.000 personnes.
François Hollande a honoré encore cette année sa promesse : il est revenu dans la vallée de la Fensch, Mais en Moselle, cette visite passe mal. A Florange, personne n'a oublié que les derniers hauts-fourneaux d'ArcelorMittal sont bel et bien fermés et que la « loi Florange » telle qu'annoncée par le candidat Hollande en 2012 n'a pas vu le jour.
Chez Smart, « nous travaillons plus pour produire et gagner moins »
Moselle - Automobile & Équipementiers - Social
Sur le site d’Hambach, le constructeur de la Smart Fortwo bascule progressivement aux 39 heures payées 37, tout en réduisant la production.
Les journalistes étaient nombreux, le 3 octobre, devant les portes de l'usine Smart France à Hambach (Moselle) pour assister à une prise de poste hautement symbolique. Au terme de quinze mois de négociations tourmentées, les 800 salariés sont entrés dans une période de modulation qui les conduira progressivement à travailler 39 heures par semaine, moyennant une baisse de 6 % du salaire horaire.