La communauté de communes de l’agglomération de Longwy (Meurthe-et-Moselle) a sollicité l’agence d’urbanisme Agape pour étudier le réaménagement de la friche industrielle de Senelle, près de la gare de Longwy. L’agence préconise de combler le vide urbain par des logements. Ce site d’entrée de ville accueille déjà commerces, services et transports.

La communauté turque du bassin de Longwy a obtenu l’autorisation de convertir en mosquée un ancien magasin de carrelage situé sur le Pôle européen de développement, en lisière du Luxembourg et de la Belgique. Le lieu de culte pourrait accueillir un millier de fidèles dès juillet prochain. La communauté arabe sollicite aussi l’autorisation d’ériger une mosquée cette année.

Les deux projets de parcs éoliens portés depuis trois ans par la communauté de communes du pays audunois entrent en phase de concrétisation.

Un permis de construire concernant sept mâts a été déposé sur la zone industrielle de Bréhain-la-Ville. A Beuvillers-Sancy, la société d’économie mixte Sodeger demande l’autorisation d’implanter cinq éoliennes. Les machines pourraient sortir de terre en fin d’année.

Périlleuse jonction entre une voie ferrée, un axe routier très fréquenté et des flux de piétons, le passage à niveau de la Patrotte, à Metz, rouvrira en mars.

La Ville de Metz a confié au cabinet d’ingénieurs conseil messin Era la maîtrise d’oeuvre d’un réaménagement complet des accès, la SNCF assurant la maîtrise d’ouvrage et la maîtrise d’oeuvre des ouvrages sous voies ferrées. La ligne ferroviaire, où circulent 75 trains par jour, surplombait une route également utilisée par les écoliers et collégiens de ce quartier limitrophe de Borny et de Devant-les-Ponts.

Les universités de Metz et de Nancy, « mariées » début 2012 au sein de l’Université de Lorraine, ont ainsi été retenues dans la session rattrapage lors de l’opération Campus. Ce qui a permis de mettre en œuvre la création ou la restauration de 90 000 m² de surface de plancher.

La centrale nucléaire de Cattenom (Moselle) illustre parfaitement la notion de « mosaïque complexe d’accords locaux » pointée par la Cour des Comptes. La durée et l’organisation du travail de la centrale de 1 332 agents sont consignées depuis quinze ans dans un accord de site conclu dans la foulée des lois Aubry.

Constitué de 31 % de cadres, de 66 % d’agents de maîtrise et de 3 % de personnel d’exécution, l’effectif dispose d’un système souple et consensuel pour répartir le temps de travail en fonction des impératifs d’une centrale nucléaire, rythmée par les arrêts de tranches.