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Archives par categorie: Articles récents


Les 100 qui font la ville : Vincent Gross, délégué général du Sillon lorrain

Transfrontalier - Epinal - Metz - Nancy - Projets urbains - Université lorraine

Centralien, ingénieur de classe exceptionnelle, ex-enseignant d’algorithmique, Vincent Gross a toujours aimé jouer aux légos. Voici vingt ans que l’ex-DGA du conseil régional de Lorraine, puis du Grand Nancy, tournicote des éléments structurants pour assembler, conforter et élargir le Sillon lorrain.

Sous son impulsion, l’ex-réseau informel de Metz, Nancy, Thionville et Epinal - quatre villes présentant peu d’atomes crochus – s’est transformé en pôle métropolitain européen du Sillon lorrain englobant désormais 12 territoires associés.

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A Metz, le gel du Parc du Technopole ouvre une phase de questionnement

Metz - Projets urbains - Habitat

A Metz, l’alternance municipale s’est traduite à la rentrée par l’annonce, par le nouveau maire et président de la métropole François Grosdidier, du gel de la deuxième tranche de logements prévu sur le Parc du Technopole. Deux mois plus tard, aucune nouvelle feuille de route n’est venue compléter cette décision, mais l’arrêt de la construction de logements sur cette zac de 60 hectares semble actée jusqu’à nouvel ordre.

Désignée comme concessionnaire du site en 2010, la Saremm projetait de créer au sud-est de la ville, en face du technopole, un quartier mixte juxtaposant un quartier d’habitation de 700 logements, un quartier tertiaire de 135.000 mètres carrés et une zone artisanale autour d’un parc urbain de 12.000 mètres carrés.

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Les 100 qui font la ville : Mathieu Klein, maire de Nancy

Nancy - Portraits

Son entrée en scène fut discrète, mais Mathieu Klein est l’homme des premières. L’étudiant en socio timide et résolu qui distribuait des tracts contre l’homophobie à la sortie de la fac de Nancy au milieu des années 90 est devenu en 2014 le premier président mosellan du conseil départemental de Meurthe-et-Moselle, puis, mi-2020, le premier maire socialiste de Nancy depuis l’Après-Guerre.

Dans l’intervalle, l’élégant quadragénaire, aujourd’hui marié à un médecin généraliste et père de trois enfants, s’est imposé en stratège tenace sachant tout à la fois construire un consensus et se démarquer de ses pairs.

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La reprise de l’usine Smart d’Hambach par Ineos sur les rails

Moselle - Automobile & Équipementiers - Social

Le Comité économique et social du site devrait se prononcer jeudi en faveur du projet de reprise par Ineos, ouvrant la voie à une signature du contrat d'ici quelques semaines. Le pétrochimiste britannique y assemblerait son nouveau 4x4 le Grenadier, et sous-traiterait des composants pour le compte de Daimler, un projet qui ne laisserait que 150 salariés sur le carreau après 2024, selon Bercy.

Il n'y a désormais plus guère de doute : c'est bien le pétrochimiste britannique Ineos qui rachètera à Daimler l'usine Smart de Hambach (Moselle). Seul projet en lice, cette cession devrait recueillir l'approbation du Comité économique et social (CSE) ce jeudi, en dépit des craintes et de la colère exprimées depuis l'annonce, en juillet dernier, du retrait de Daimler .

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Vosges : le scolyte ravage l’équilibre des marchés du bois

Vosges - Bois | Papier - Environnement

L'infestation des forêts du Grand Est par les insectes gagne du terrain, passant de la plaine à la moyenne montagne et des Vosges au Jura. Forestiers et scieurs appellent à l'aide pour évacuer les surplus de bois dans l'attente d'une sortie de crise.

Les forestiers privés ont fait leurs comptes : en neuf mois, ils ont utilisé l'intégralité des 6 millions d'euros alloués par l'Etat en début d'année pour les aider à évacuer leur bois scolyté du Grand Est vers l'Aquitaine.

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Le Bras Frères construit un collège de quatre étages en paille et bois

Meurthe et Moselle - Nancy - Construction - Écoconstruction

Pour le Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle, l'entreprise locale Le Bras Frères réalise la triple prouesse de construire un collège à énergie positive, en bois sur quatre étages et isolé par des caissons paille-bois. Le coût de ce chantier, qui s'élève à 14 millions d'euros, s'avère de 10 à 15 % plus cher qu'une construction classique.

Le collège en cours de construction sur le site universitaire Artem, à Nancy, représente une triple première. A la rentrée 2021, il constituera l'unique établissement recevant du public (ERP) en bois qui s'élève sur quatre étages, soit plus de 15 mètres de hauteur. Il deviendra aussi le premier collège à énergie positive du Grand Est et ses murs en paille-bois en feront un bâtiment pionnier de la construction paille.

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