Le club des affaires Sarre-Lorraine tente de remédier au faible engouement des Mosellans pour les quelque 300 millions d’euros engagés dans de grands projets d’aménagement à Sarrebruck.
C’est d’autant plus regrettable que les artisans français font de l’excellent travail et présentent une capacité d’adaptation qui pourrait faire la différence.
Jacques Renard, président du Club des Affaires
Le club a invité en février dernier Rudolf Weyand, responsable des appels d’offres auprès du ministère des Finances de la Sarre, à animer au World Trade Center de Metz une conférence sur le thème : « les marchés publics sarrois : une chance pour les entreprises françaises ». Pour saisir cette main tendue, l’entreprise mosellane devra compter au moins un collaborateur bilingue – une perle rare, surtout parmi les apprentis. Une alliance avec un confrère sarrois peut également porter ses fruits.
Une nouvelle donne facilite les échanges : certaines entreprises sarroises n’hésitent pas à se positionner sur le marché lorrain.
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